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Accès et consultation des données RCS par le grand public

La disponibilité croissante des données du registre du commerce et des sociétés (RCS) représente aujourd’hui un enjeu majeur pour la transparence économique, la lutte contre la fraude et l’information des citoyens. Autrefois confinées aux greffes des tribunaux de commerce, ces informations sont progressivement ouvertes et digitalisées, offrant au grand public la possibilité d’accéder à un réservoir précieux de données sur des millions d’entreprises. Cette offre numérique, portée par une ambition publique et réglementaire, suscite des opportunités inédites pour les journalistes, les investisseurs, les fournisseurs B2B ou tout simplement tout citoyen curieux de connaître la santé juridique et financière d’une entreprise. Dans cet article, nous retraçons le contexte et la philosophie de cette ouverture, cartographions les principales sources d’accès, dressons une typologie exhaustive des données disponibles, décrivons des parcours utilisateurs concrets et analysons les implications juridiques, éthiques et techniques liées à la consultation de ces informations. Enfin, nous explorons les innovations en cours et formulons des recommandations pratiques pour tirer pleinement parti de ces ressources dans un cadre responsable et sécurisé.

Contexte et philosophie de l’ouverture des données rcs

Évolution législative vers la transparence

L’histoire de l’ouverture des données RCS est jalonnée de plusieurs étapes clés marquant une volonté croissante de transparence. Dès 1919, la création du registre du commerce fixait l’idée d’un recueil officiel des informations juridiques des entreprises, principalement pour sécuriser les transactions commerciales. Ce cadre a été profondément révisé par la loi Macron de 2015, qui a introduit l’open data pour les informations non personnelles figurant dans les documents déposés au greffe. Plus récemment, le RGPD a précisé le cadre de la protection des données, appelant à un équilibre subtil entre accès public et respect de la vie privée des dirigeants. À chaque phase législative, l’objectif de l’État s’est affiné : limiter la fraude aux micro-entreprises, renforcer l’attractivité économique et donner au citoyen un meilleur outil d’information.

Pour synthétiser cette progression, on peut repérer trois grands jalons :

Ces avancées législatives illustrent la volonté de l’administration d’améliorer la sécurité juridique des échanges en réduisant le secret entourant les statuts et bilans des sociétés. La cohérence de cette politique s’inscrit également dans une stratégie plus globale d’attractivité : favoriser l’investissement étranger, valoriser un climat de confiance et d’ouverture en phase avec les standards européens d’open government. L’approche réglementaire n’est pas déconnectée du contexte technologique : la digitalisation des greffes, le déploiement progressif d’APIs et la mise en place de portails publics s’appuient sur la loi pour structurer un écosystème d’information pérenne et accessible.

Principes de l’open data appliqués au RCS

L’open data repose sur quatre grands principes : l’accessibilité, la réutilisation, la gratuité et la neutralité de format. Appliqués aux données RCS, ces principes signifient que toute information non personnelle doit être accessible librement, sans coût prohibitif, et dans un format exploitable par des machines (JSON, CSV…). Toutefois, la protection des données personnelles des dirigeants impose des limitations : certaines informations sensibles (numéros de téléphone, e-mails privés) sont masquées ou restreintes. Le RCS se trouve ainsi à la croisée de deux obligations : donner un devoir d’information aux tiers, tout en respectant la vie privée des individus. C’est véritablement un exercice d’équilibriste réglementaire, encadré par des recommandations de la CNIL quant aux bonnes pratiques de publication.

Les volumes d’accès témoignent de l’intérêt grandissant pour ces données. En 2022, Infogreffe a enregistré près de 2,5 millions de requêtes mensuelles sur sa plateforme en ligne, tandis que data.gouv.fr, via l’API Sirene, a traité plus de 50 milliards de consultations de fiches entreprises sur l’année. Ces chiffres, en constante augmentation, reflètent la diversité des usages et la montée en puissance de l’open data comme catalyseur de projets innovants, des startups de data-analytics jusqu’aux journalistes d’investigation et aux cabinets de conseil.

Cartographie des sources officielles et alternatives d’accès

Le greffe du tribunal de commerce (présentiel et en ligne)

Le greffe du tribunal de commerce constitue la source historique et officielle d’obtention du Kbis. Que ce soit en guichet physique ou via la plateforme en ligne, la procédure suit un schéma identique : dépôt d’un formulaire de demande, paiement des droits (environ 3 € par extrait) et délivrance du document sous 24 à 48 heures. Le Kbis garantit l’authenticité juridique de l’entreprise avec une date de validité claire. La consultation sur place permet parfois d’accéder à des dossiers complets, notamment pour les archives anciennes ou les mentions marginales non digitalisées. À l’inverse, le service postal peut être sujet à des délais plus longs lorsque la demande porte sur des informations anciennes ou exhaustives.

Malgré la montée en puissance des canaux numériques, certains cas imposent encore un passage au greffe physique. Par exemple, la recherche de mentions marginales sur des procédures antérieures à 2000, ou la vérification de pièces rares comme les statuts mis à jour lors d’une mutation de siège. Dans ces configurations, seule la consultation in situ ou la commande d’un quitus de formalités peut fournir la garantie de complétude indispensable à une due diligence approfondie.

Portails publics et open data

Les portails publics offrent une ergonomie variable selon les besoins. Infogreffe.fr propose une interface conviviale permettant d’effectuer des recherches par SIREN, dénomination sociale ou nom des dirigeants, tout en fournissant un historique des documents déposés. Les tarifs sont modulés : les extraits Kbis récents sont facturés moins cher que les documents d’archives. En parallèle, data.gouv.fr, via l’API Sirene, permet une extraction massive en JSON ou CSV, avec des mises à jour quotidiennes portant sur les naissances, modifications et radiations d’établissements. Le guichet-entreprises, quant à lui, agrège différents services administratifs et autorise la réutilisation d’une partie des données RCS pour la création de fiches automatisées lors de la création d’entreprise.

Cependant, des limites subsistent. Les formats de fichiers peuvent varier et nécessiter un certain travail de normalisation , l’API Sirene ne fournit pas directement les bilans financiers ou les documents de procédure collective, qui restent sous la responsabilité d’Infogreffe ou des greffes départementaux. Les potentialités de réutilisation purement open data sont donc parfois bridées par ces frontières de compétence administrative.

Plateformes privées et agrégateurs de données

Face à l’offre publique, les acteurs privés ont développé des services à valeur ajoutée. Societe.com, Manageo ou Altares en France, ainsi que des bases internationales comme Orbis ou Kompass, proposent des abonnements donnant accès à des fiches enrichies : indicateurs financiers, analyses sectorielles, cartographies de liens capitalistiques. Le modèle économique varie du freemium (accès restreint gratuit, options payantes) à l’abonnement illimité, jusqu’à la facturation à la requête unique pour certains services premium.

La fiabilité des données est un point clé : les agrégateurs internationaux couvrent souvent un périmètre plus large, mais peuvent souffrir d’un décalage d’actualisation ou d’imprécisions sur les procédures collectives françaises. Inversement, les services français spécialisés garantissent une cohérence forte sur le RCS national, mais peuvent manquer de contexte global lorsqu’il s’agit de structures à dimension internationale. Le choix entre ces offres dépendra donc de la profondeur d’analyse recherchée et du périmètre géographique des entreprises étudiées.

Typologie détaillée des données accessibles

Identification et situation juridique de l’entreprise

Les informations basiques disponibles dans le RCS incluent le numéro RCS, le SIREN et le SIRET, la raison sociale, l’adresse du siège, le code APE et la forme juridique. Ces éléments constituent le socle d’identification, indispensables à toute vérification. Les statuts, quant à eux, détaillent la forme juridique (SARL, SAS, SA…), le capital social, le siège social et l’objet social. Sur Infogreffe, chaque fiche entreprise présente ces mentions de manière synthétique, souvent accompagnée du numéro d’inscription au répertoire des métiers lorsque pertinent.

À titre d’exemple, une fiche de PME spécialisée dans la fabrication de matériel médical mentionnera le code APE 3250Z, un capital social de 50 000 €, et un objet social précisant la conception, la fabrication, la vente et la maintenance d’équipements hospitaliers. Cette transparence statutaire est essentielle pour comprendre le périmètre d’activité et le gage juridique d’une société avant tout engagement contractuel.

Gouvernance et bénéficiaires effectifs

Au-delà des dirigeants officiellement désignés (gérants, présidents, directeurs généraux), le RCS intègre depuis 2017 la déclaration des bénéficiaires effectifs, c’est-à-dire les personnes physiques détenant directement ou indirectement plus de 25 % du capital ou des droits de vote. L’accès à ces informations se fait via Infogreffe, avec un degré de confidentialité modulé : les données sensibles sont protégées lorsque des risques avérés sont identifiés, mais une partie reste consultable par les tiers.

En pratique, un cas concret illustre l’intérêt de cette déclaration : un journaliste, grâce à Data.gouv, peut repérer qu’un dirigeant nommé président d’une SAS est également bénéficiaire effectif d’une holding étrangère, ce qui peut orienter une enquête sur des montages financiers internationaux. Cette transparence accrue participe aujourd’hui à un meilleur contrôle des circuits de blanchiment et de fraude fiscale.

Informations financières et procédures collectives

La plupart des bilans et comptes de résultat déposés au greffe sont consultables sous forme de rapports financiers, parfois résumés sur Infogreffe. Toutefois, l’accès complet à l’ensemble des liasses fiscales peut nécessiter une demande plus formelle, notamment pour des années antérieures. En matière de procédures collectives, les mentions marginales renseignent sur les ouvertures de redressement ou de liquidation judiciaire, ainsi que sur les principales décisions du tribunal.

Selon l’INSEE, plus de 150 000 entreprises françaises ont fait l’objet d’une procédure collective en 2022. Les statistiques d’accès révèlent que 30 % des consultations RCS incluent la vérification de ces procédures, signe de l’importance accordée à l’état de santé financière des partenaires potentiels. Une consultation rigoureuse des mentions marginales peut éviter de s’engager avec une entreprise déjà sous le coup d’une mesure judiciaire, limitant ainsi les risques commerciaux et financiers.

Parcours utilisateur et cas d’usage sectoriels

Le journaliste d’investigation

Dans le cadre d’une enquête, le journaliste d’investigation privilégie souvent une démarche multicanale : consultation sur Infogreffe pour les statuts et bilans, extraction via l’API Sirene pour bâtir un réseau de relations, puis croisement avec des bases judiciaires pour identifier d’éventuelles condamnations. La recherche commence classiquement par le SIREN, garant d’une identification sans ambiguïté, avant de remonter vers les bénéficiaires effectifs et les organigrammes capitalistiques.

Les outils complémentaires peuvent inclure du scrapping pour agréger automatiquement les informations d’une centaine d’entreprises, ou des logiciels de datavisualisation pour mettre en évidence les liens financiers. Cette méthodologie rigoureuse permet de documenter des enquêtes sur des affaires de corruption, d’abus de biens sociaux ou d’évasion fiscale, en s’appuyant sur des données officielles et vérifiées.

Le fournisseur / client B2B

Avant de conclure un contrat avec un nouveau fournisseur, une entreprise B2B met en place une checklist de conformité incluant la vérification du Kbis, la recherche de mentions marginales et l’analyse des bilans récents. Certains outils proposent des alertes automatisées sur la modification des dirigeants ou l’apparition de procédures collectives, garantissant une veille en temps réel sans mobiliser de ressources internes massives.

Plusieurs cas pratiques montrent l’efficacité de cette démarche : une société de négoce ayant refusé un partenariat après avoir détecté un incident de paiement signalé en procédure collective a évité un litige commercial majeur, épargnant des coûts de plus de 200 000 €. Ainsi, l’accès proactif aux données RCS devient un véritable levier de maîtrise des risques.

L’investisseur / banquier

Pour évaluer la solvabilité d’une PME avant un prêt ou un investissement, les professionnels de la finance exploitent les bilans pour calculer des ratios clés : solvabilité, rentabilité, endettement. Les données RCS sont intégrées automatiquement dans des tableaux de bord ERP ou BI, via des connecteurs API. Cette intégration garantit la mise à jour régulière des informations et la cohérence des analyses.

Une étude de cas illustre ce processus : un banquier a accordé un financement de 500 000 € à une PME spécialisée en agroalimentaire, après avoir constaté une amélioration constante de la marge nette sur trois exercices, confirmée par un Kbis fraîchement mis à jour mentionnant un nouveau capital social. Cette approche agile et fondée sur des données officielles a permis de sécuriser la décision de crédit tout en réduisant les délais d’instruction.

Enjeux juridiques, éthiques et limites d’utilisation

Protection des données personnelles et vie privée

Le RGPD a profondément rebattu les cartes du droit à l’information en imposant un équilibre entre la publication des données économiques et la protection de la vie privée des dirigeants. La jurisprudence récente rappelle que les informations personnelles non nécessaires à l’exercice d’une activité économique (numéros de téléphone privé, adresses électroniques directes) doivent être masquées ou floutées. Par ailleurs, le droit à l’oubli peut être activé par les individus concernés, qui peuvent demander le déréférencement de certaines données obsolètes ou diffamatoires.

La CNIL a publié des avis détaillés sur les meilleures pratiques à adopter pour les portails publics : limiter la durée de conservation de certaines informations, anonymiser les fichiers historiques et mettre en place des mécanismes de contestation simples. Ces recommandations visent à prévenir les abus et à garantir un juste niveau de transparence pour les tiers.

Risques d’usurpation et fraudes documentaires

La multiplication des faux Kbis et des détournements de numéros RCS constitue un risque réel. Des réseaux organisés peuvent créer de fausses entreprises, en reproduisant des documents officiels contrefaits ou en utilisant des QR Codes altérés. Face à ces menaces, les greffes ont mis en place des mécanismes de sécurisation : QR Code dynamique sur chaque extrait, signature électronique avancée et horodatage cryptographique.

Plusieurs affaires récentes ont conduit à des poursuites pénales pour faux et usage de faux, avec des peines pouvant atteindre cinq ans de prison et 75 000 € d’amende. Ces sanctions dissuasives, couplées à la vigilance accrue des plateformes de vérification, contribuent à renforcer la confiance dans l’authenticité des documents RCS.

Fiabilité et mise à jour des données

Un des principaux défis réside dans le décalage qui peut exister entre le dépôt d’une modification statutaire et sa publication effective dans les bases open data. Certaines mentions marginales sont traitées manuellement, ce qui peut engendrer un délai de plusieurs semaines. De plus, des erreurs d’indexation, imputables à des homonymies ou à des saisies erronées, surviennent régulièrement. Repérer ces anomalies requiert une vigilance et un processus interne de double-vérification avant toute réutilisation.

En cas d’information erronée, tout utilisateur dispose d’un droit de contestation. La procédure consiste à écrire au greffe compétent, en joignant un justificatif, puis à signaler le problème sur le portail de la CNIL si la non-actualisation persiste. Cette démarche garantit la correction rapide des données et contribue à la fiabilité globale du système.

Les innovations et perspectives de l’accès aux données rcs

Api ouvertes et intégration automatisée

Le développement des APIs publiques telles que Sirene, Infogreffe Connect ou l’API OpenData INPI ouvre la voie à une intégration automatisée des données RCS dans les systèmes d’information d’entreprise. Les abonnements professionnels permettent un accès sécurisé à des flux en temps réel, facilitant la construction de CRM ou ERP enrichis de données légales et financières. Plusieurs entreprises ont déjà implémenté ces solutions, réduisant de 70 % le temps passé à la collecte manuelle d’informations et augmentant la réactivité des équipes commerciales.

Intelligence artificielle et data mining

Les technologies de data science et d’intelligence artificielle révolutionnent l’exploitation des données RCS. Des outils de reconnaissance de pattern détectent automatiquement les réseaux capitalistiques complexes, permettant d’anticiper les conflits d’intérêts ou les risques de fraude. Des algorithmes de machine learning peuvent aussi générer des alertes prédictives, en analysant les mentions marginales et les indicateurs financiers pour signaler un risque de défaillance imminente.

Plusieurs startups françaises se sont spécialisées dans ces approches, proposant des dashboards interactifs et des scores de fiabilité d’entreprise calculés en temps réel. Ces innovations ouvrent des perspectives prometteuses pour la sécurité économique et la gouvernance d’entreprise.

Vers une blockchain du registre du commerce ?

L’application de la blockchain au RCS représente un proof of concept élaboré dans plusieurs pays européens. L’idée est de rendre immuables et traçables toutes les modifications statutaires, grâce à un enregistrement distribué. Cela augmenterait la confiance dans l’historique complet des entreprises et limiterait les fraudes documentaires.

Toutefois, les freins réglementaires sont significatifs : la législation française n’est pas encore prête à considérer un registre décentralisé comme authentique. Des expérimentations sont en cours, notamment sur un registre de l’Inpi utilisant la technologie Ethereum, mais la généralisation d’un tel dispositif nécessiterait une évolution profonde du cadre légal et des modalités de gouvernance des greffes de commerce.

Perspectives d’évolution et passer à l’action

Alors que l’ouverture des données RCS se poursuit, il est essentiel de sélectionner la source la mieux adaptée à ses besoins : greffe pour une authenticité juridique totale, Infogreffe pour un équilibre coût-fiabilité, API Sirene pour des intégrations de masse. La mise en place d’une veille automatisée, via alertes sur les procédures collectives ou changements de dirigeants, constitue un réflexe indispensable pour maintenir une connaissance à jour des partenaires et concurrents.

Pour exploiter ces ressources de manière conforme, il est recommandé de formaliser une charte interne de consultation, intégrant des processus de vérification périodique et un audit qualité des données. La formation des collaborateurs aux enjeux RGPD, à la détection de faux documents et aux outils d’analyse doit venir compléter ce dispositif, afin de minimiser les risques et maximiser la valeur de l’information.

Enfin, chacun, qu’il soit journaliste, fournisseur, investisseur ou citoyen, peut contribuer à l’amélioration continue du système : signalez les bugs sur data.gouv, proposez des fonctionnalités aux portails officiels, ou partagez vos retours d’expérience dans des communautés professionnelles. Cette dynamique collaborative est la clé pour faire du RCS un véritable bien commun, au service d’une économie transparente et résiliente.

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